Bonjour,
Cela montre que maintenant il faut mettre en place des conseils pour les producteurs d’informations. En effet un grand nombre de publications ont des descriptifs qui ne permettent pas de savoir de quoi il s’agit, parfois même avec des descriptifs très longs et les thématiques associées aux événements sont largement fantaisistes ou vagues.
Nous avons dû mettre en place un système d’analyse des contenus assez complexe pour identifier la nature d’une publication qui réduit à 0,5 pour mille les contenus non identifiables, mais conduit aussi à des contresens et donc à de mauvaises classifications.
Après le volet informatique qui fonctionne plutôt bien, il faut ouvrir 2 nouveaux chantiers :
-1- élargir l’étendue géographique : la représentativité des régions utilisant un système concurrent reste assez marginale. C’est un chantier politique auprès des régions.
-2- mettre en place un espace d’échange et de conseils aux diffuseurs d’informations touristiques. Trop de diffuseurs imaginent que tout le monde sait ce qu’ils font ; or le but de l’information touristique est d’aider un « consommateur » potentiel à trouver ce qui l’intéresse. Pour cela rien ne sert de présenter tout ce qu’il se passe à un endroit donné : il faut trier en fonction des intérêts des « consommateurs ». On peut être intéressé par une balade nature et pas par une conférence : « découvrir ceci ou cela » est il une information suffisante pour faire son choix ? Non : il faut préciser s’il s’agit d’une présentation, d’une conférence ou d’une sortie sur le terrain…
C’est à ce prix que ce système mis en place trouvera tout son intérêt pour tous : producteurs d’informations et exploitants du système.
Un grand pas a été franchi ; il reste à mieux utiliser l’outil avec plus de pertinence.